J'ai fait la connaissance de Virginie grâce à Pierre Monjaret qui me l'a présentée comme une jeune artiste déjà bien reconnue et demandée. Elle m'a reçu chez elle et déjà, avant de découvrir son atelier j'ai été étonné par son univers, sa relation au monde vivant - et à sa mort aussi. Ses créations m'ont entraîné dans une direction artistique nouvelle pour moi. Elle m'a offert une de ses flèches, je lui ai promis un crâne de gypaète que j'ai trouvé au pied du Balaïtous.